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SCANDALE POLITIQUE

A - SCANDALE POLITIQUE

1 - Le pouvoir absolu

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2 - Classement de la période sous le "secret d'état" : Scandale // Impunité pour les traitres à la nation.

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https://www.finalscape.com/politique-les-crimes-de-haute-trahison-et-de-complot-contre-la-surete-de-letat-retires-de-la-constitution-francaise-en-catimini/

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/covid-19-les-decisions-prises-en-conseil-de-defense-rendent-elles-le-gouvernement-inattaquable-20210910

https://www.dna.fr/sante/2021/07/03/covid-19-ces-scandales-qui-ont-emaille-la-crise-dans-le-monde

https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/21/dans-la-crise-du-covid-19-tous-les-elements-d-un-scandale-judiciaire-de-sante-publique-sont-reunis_6037264_3232.html

 

3 - Conflit d'intérêt & lien avec les élus / Business pharma

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Scandale : 2,4 milliards de doses covid achetées pour 445 millions d'Européens :

Corruption  détournement de fonds publics

https://www.youtube.com/watch?v=B8VFHiTd1QI&ab_channel=LeCourrierdesStrat%C3%A8ges

https://www.youtube.com/watch?v=T7Yu-zP85Vg&ab_channel=VirginieJoron

https://www.youtube.com/watch?v=6oV787de3RI&ab_channel=VirginieJoron

https://www.mediapart.fr/journal/economie/020222/le-vaccin-de-pfizer-une-machine-profits-demesures?M_BT=113359173463

https://www.humanite.fr/monde/covid-19/big-pharma-le-scandale-des-70-milliards-deuros-dedies-aux-actionnaires-plutot-qua

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/covid-19-chaque-jour-pfizer-le-leader-des-vaccins-a-engrange-60-millions-de-dollars-de-benefices-en-2021-903656.html

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B - SCANDALE RELATIF AUX LIBERTES PUBLIQUES

1 - Les citoyens privés de liberté de circulation

 

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Matt Hancock

Officiellement il démissionne  en raison d'une liaison extra-conjuguale : Faut le mettre en retrait le bougre ! Mais pourquoi ?

https://www.lindependant.fr/2023/03/06/covid-quand-deployons-nous-le-nouveau-variant-le-plan-du-ministre-de-la-sante-britannique-pour-effrayer-la-population-et-annoncer-le-confinement-11041727.php

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Covid : "Quand déployons-nous le nouveau variant ?", le plan du ministre de la Santé britannique pour "effrayer" la population et annoncer le confinement

Au mois de novembre dernier, Matt Hancock était suspendu de ses fonctions de député pour avoir participé à une émission de télé-réalité.

Au mois de novembre dernier, Matt Hancock était suspendu de ses fonctions de député pour avoir participé à une émission de télé-réalité. MAXPPP - Justin Ng / Avalon

 

Des centaines de milliers de messages échangés par les membres du gouvernement de Boris Johnson en pleine crise du Covid ont été dévoilés dans la presse. Des révélations explosives !

Et encore un scandale. Depuis quelques jours, les "lockdown files" mettent la Grande-Bretagne en ébullition. En effet, le Telegraph a publié des centaines de milliers de messages récupérés sur Whatsapp, envoyés par des membres du gouvernement de Boris Johnson pendant de la crise du Covid. 

Dans le viseur des médias anglais : Matt Hancock. L'ancien ministre de la Santé aurait envoyé des messages plutôt compromettants alors qu'il était encore en fonction. Jugez plutôt. 

Nous sommes le 13 décembre 2020, soit "cinq jours avant que le gouvernement ne renonce à son intention d'assouplir les règles à Noël", détaille la BBC

Stratégie

Dans une conversation avec un conseiller, Matt Hancock discute du meilleur moment pour dévoiler l'existence d'un nouveau variant et faire ainsi accepter aux Britanniques l'idée de la prolongation des mesures de restriction. Alors que l'équipe de Boris Johnson ne fait pas l'unanimité, que ses décisions sont contestées par une partie de la population et que le Brexit occupe le haut de l'affiche. Matt Hancock et son conseiller parlent stratégie. "Nous effrayons tout le monde avec la nouvelle souche", lâche ainsi le secrétaire à la Santé. "Ouais, c'est ce qui entraînera un changement de comportement approprié", répond son conseiller. "Quand déployons-nous la nouvelle variante ?", demande alors le ministre.

Hancock dévoilait l'existence du variant anglais (Alpha) le lendemain. 

Depuis, Hancock a bien tenté de se défendre en dénonçant un "récit partiel et biaisé adapté à un programme anti-confinement".

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https://www.france24.com/fr/europe/20210627-scandales-du-covid-19-ces-politiques-pouss%C3%A9s-%C3%A0-la-d%C3%A9mission

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2 - Une société à l'arrêt, des médecins privés de liberté de prescription pour des raisons politiques.

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Que s'est-il passé en réalité ? Pour avoir les mains libres et justifier une situation d'exception, le contrat exceptionnel dont a bénéficié big-pharma, la loi exigeait une menace exceptionnelle et un problème sans réponse médicinale classique ... chose que le gouvernement à créé de toute pièce. On a exagéré la menace ( bourrage de crâne médiatique & chiffre corrompu ) ... et interdit les recherches ou solutions médicales alternatives au vaccin ( médecin encadré & Pr Raoult muselé ). Il fallait qu'il n'existe aucun traitement et aucune alternative à la proposition des firmes pharmaceutiques ... Qu'à cela ne tienne ! Ils ont interdit, bridé, obligé ou muselé tout ceux qui avaient des solutions alternatives.

Scandale d'état ! Soulevez-vous contre cette manipulation historique ! ...

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COVID-19 : plus de 15 000 médecins dans le monde dénoncent des "attaques sans précédent"

medecine

© Pixabay - Licence : Pixabay

Face à l'obscurantisme et à l'autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la "Déclaration de Rome sur la Covid". Un appel international pour dénoncer l'ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.

Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l'Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous "protéger" de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment...

▴ Publi-reportage ▴

Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu'ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d'adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d'être radiés de leurs fonctions.

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Ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine… : que risque un médecin en prescrivant ces traitements dans le Covid ?

 

Crédit photo : Phanie

« Médecins, soignez : c’est autorisé. » C’est le message rassurant que tentent de faire passer les partisans des traitements précoces contre le Covid-19. À l’instar du collectif « Laissons les médecins prescrire », ils encouragent leurs confrères à administrer des médicaments qui n’ont pas fait la preuve de leur efficacité dans le Covid selon les autorités sanitaires.

Hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine en font partie. Lancé il y a quelques mois, un protocole empirique de traitement du Covid continue d’ailleurs à circuler sur Internet. Il associe ces médicaments à des produits homéopathiques, à de la phytothérapie et à de l’acupuncture… Dangereux, estimait l’Ordre des médecins au mois de février dernier. Et pourtant, rien n’empêche les médecins de le prescrire. Mais en cas de pépin, ils devront en assumer toute la responsabilité devant la justice ordinale et les tribunaux.

Liberté de prescription… encadrée

Dans une fiche pratique publiée sur son site Web, le Conseil national de l'Ordre des médecins rappelle que les praticiens bénéficient d’une liberté de prescription (article 8 et 40
du code de déontologie et article L.162-2 du code de la
sécurité sociale), y compris pour des médicaments qui n’ont pas reçu d’AMM (autorisation de mise sur le marché) ni même d’ATU (autorisation temporaire d’utilisation) pour certaines indications thérapeutiques. C'est par exemple le cas de l’ivermectine, un traitement antiparasitaire. « La prescription hors AMM est possible », elle est même prévue par la loi, indique l’Ordre.

Cette liberté est cependant encadrée. Le prescripteur doit en premier lieu s’assurer qu’aucune alternative thérapeutique médicamenteuse n’est disponible. À ce jour, c’est bien le cas du Covid-19 pour lequel aucun traitement n'a été reconnu efficace par la communauté scientifique.

Le médecin qui prescrirait hors AMM n'est pas pour autant à l'abri des poursuites. Deux cas de figure peuvent se présenter.

Premièrement, s’il ne remplit pas son obligation d’information renforcée envers son patient, définie par l’article L.1111-2 du code de la santé publique (CSP). Il a le devoir de lui rappeler la non-conformité de la prescription par rapport à son AMM, l’absence d’alternative thérapeutique à bénéfice équivalent, les risques encourus et les bénéfices potentiels et enfin l’absence de prise en charge du traitement par l’Assurance-maladie. Le médecin doit en outre motiver sa décision dans le dossier médical (article L.5121-12-1 du CSP). Une entorse à cette obligation d’information ouvrirait droit à réparation.

Risque injustifié

Le médecin peut également être attaqué s’il fait courir un risque injustifié à ses patients (article R.4127-40 du CSP). Il « ne peut proposer aux patients des thérapeutiques insuffisamment éprouvées (article R.4127-39 CSP) », rappelle le CNOM. C’est précisément le cas de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine dans des indications contre le Covid, pour lesquels il n'y a pas consensus de la communauté scientifique sur l'efficacité de ces médicaments dans le Covid.

Pour le premier de ces traitements, la question ne se pose plus vraiment depuis que le gouvernement a interdit sa délivrance hors AMM dans le Covid, en ville comme à l'hôpital. Dans le cas de l’ivermectine, la responsabilité du prescripteur pourrait être engagée.

Dans une décision rendue au début du mois d’avril, l’ANSM a refusé une demande de RTU (recommandation d’utilisation temporaire) en faveur de l'ivermectine, estimant que le manque de données disponibles « ne permet pas de présumer d’un rapport bénéfice/risque favorable, en traitement curatif ou en prévention ». L’Agence soulignait également que le Haut Conseil de la santé publique avait conclu à l’absence de recommandation de l’utilisation de cette molécule contre le Covid-19, en dehors d’un essai clinique.

Au mois de mars, c’est l’Agence européenne du médicament qui s’était prononcée. « Les preuves actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour soutenir l’utilisation de l’ivermectine dans le Covid-19 en dehors des essais cliniques », avait-elle indiqué dans un communiqué. Elle estimait que le risque de toxicité des doses plus élevées « nécessaires pour obtenir des concentrations d’ivermectine dans les poumons efficaces contre le virus » ne pouvait être exclu.

En cas de plainte, le médecin mis en cause devra démontrer que sa prescription n’est pas en contradiction avec ces données établies par les scientifiques.

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3 - Le soutien du Conseil  constitutionnel

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https://www.liberation.fr/checknews/conseil-constitutionnel-et-pass-sanitaire-laurent-fabius-est-il-en-situation-de-conflit-dinterets-a-cause-de-son-fils-chez-mckinsey-20210808_ORZB5IZ3CNBNVPICGOXSHDIA4A/

 

Conseil constitutionnel et pass sanitaire : Laurent Fabius est-il en situation de conflit d’intérêts à cause de son fils chez McKinsey ?

 

Si le sujet agite les réseaux sociaux, les spécialistes interrogés par CheckNews évoquent une «interférence faible».

Le fils du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius travaille pour le cabinet McKinsey que le gouvernement a missionné dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19. (Gonzalo Fuentez/REUTERS)

par Vincent Coquaz et Danae Corte

publié le 8 août 2021 à 13h33

Bonjour,

Votre question porte sur la décision du Conseil constitutionnel qui a validé jeudi 5 août l’extension du pass sanitaire. Vous êtes ainsi plusieurs à nous interroger sur un potentiel conflit d’intérêts de Laurent Fabius, président de cette institution qui se prononce sur la conformité des lois à la Constitution, avec le poste qu’occupe son fils Victor Fabius, au sein du cabinet McKinsey dont il est directeur associé.

Le gouvernement a en effet fait appel à ce cabinet de conseil en stratégie pour une mission dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid-19 (ce qui posait déjà en soi des questions de conflit d’intérêts, comme l’expliquait CheckNews).

Pour plusieurs internautes, notamment certains opposants au pass sanitaire, les places respectives du père et du fils constitueraient un conflit d’intérêts, comme le sous-entend par exemple cette image particulièrement partagée sur Twitter.

Date de dernière mise à jour : 12/03/2023