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SCANDALE HISTORIQUE !

A - Les pandémies dans l'histoire

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Epidémie ou Pandémie ?

Le terme de «pandémie» signifie que la propagation du virus est devenue mondiale. Le problème réside dans le fait que ce terme n’a pas de définition claire et scientifiquement consensuelle. Elle diffère par exemple entre l’OMS et d’autres organisations de santé. Et, au bout du compte, c’est toujours l’OMS qui a le dernier mot lorsqu’il faut la déclarer officiellement.

Selon l’organisation, une épidémie correspond à la propagation d’une nouvelle maladie chez un grand nombre d’individus non immunisés dans une région donnée, tandis qu’une pandémie est la propagation mondiale à grande échelle de cette même maladie dans plus de 2 continents. Jusqu'ici, le Dr Tedros Adhanom, directeur de l’OMS, avait jugé qu’il était encore trop tôt pour franchir ce cap.

Ce mercredi soir, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, s'est voulu rassurant sur la décision de l'OMS : «Le mot fait peur mais une pandémie n'est qu'une épidémie qui se diffuse sur tous les continents. Elle n'est pas plus virulente ou plus grave parce qu'on l'appelle “pandémie”».

Rappelons qu’en 2003, l’épidémie de SARS liée à l’apparition d’un autre coronavirus n’avait jamais été qualifiée de pandémie par l’OMS bien qu’elle ait touché 26 pays. Notamment parce que la propagation du virus avait été contenue rapidement et que la plupart des cas restaient concentrés dans une poignée de pays.

Qu'est-ce que cela change ?

Le passage d'une épidémie à une pandémie permet de franchir un cap au niveau stratégique. Lorsqu'il n'est plus possible d'endiguer la propagation du virus et que des cas se déclarent par centaines sur tous les continents, il convient de changer de braquet pour tenter d'atténuer au maximum l'impact du pathogène. «Décrire la situation comme une pandémie ne change pas l'évaluation de la menace posée par ce coronavirus. Cela ne change pas ce que fait l'OMS, et cela ne change pas ce que les pays devraient faire», a déclaré ce mercredi le directeur général de l'OMS.

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Les épidémies n'ont pas attendu la mondialisation ni la crise du coronavirus pour s'étendre à l'ensemble du globe. Dès l'Antiquité, les maladies ont décimé des populations entières en l'espace de quelques mois voire quelques jours, déclenchant la terreur des habitants face à un mal inconnu.

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Version globalisée de l'épidémie, la pandémie se caractérise par une propagation rapide et un taux de mortalité élevé. Transmises par des virus ou bactéries inconnus à leur époque, ces pandémies ont tué des millions de personnes et marqué l'histoire de l'humanité.

La peste d’Athènes (-430 à -426 avant J.C)

Première pandémie documentée de l'histoire, la peste d'Athènes est en réalité probablement due à une fièvre thyphoïde. Décrite par l'historien Thucydide, lui-même touché par la maladie, la maladie se manifeste par des fièvres intenses, des diarrhées, des rougeurs et des convulsions. Venue d'Éthiopie, elle frappe ensuite l'Égypte et la Libye, puis arrive à Athènes au moment de siège de ville de Sparte, lors de la guerre du Péloponnèse. On estime qu'un tiers de la ville, soit 200.000 habitants, vont périr lors de cette épidémie qui marquera le début du déclin d'Athènes.

Pericles donnant l’oraison funèbre / Philipp von Foltz © Wikipedia

Pericles donnant l’oraison funèbre / Philipp von Foltz © Wikipedia 

La peste Antonine (165-166)

Là encore, cette pandémie n'est pas due à la peste mais à la variole. Elle tient son nom de la dynastie des Antonins, dont est issu l'empereur Marc-Aurèle, qui régnait alors sur l'empire romain. La pandémie débute à la fin de l'année 165 en Mésopotamie, durant la guerre contre les Parthes et atteint Rome en moins d'un an. Selon les estimations, elle aurait causé 10 millions de morts entre 166 et 189, affaiblissant considérablement la population romaine. La variole, causée par un virus et caractérisée par des croûtes rougeâtres, des diarrhées et vomissements, a été déclarée éradiquée en 1980.

La peste noire (1347-1352)

Après avoir sévi en Chine, la pandémie de peste noire arrive en 1346 en Asie centrale, parmi les troupes mongoles assiégeant le port de Caffa, sur la mer Noire, tenu par des marchands génois. La maladie, se manifestant par d'horrible bubons, se propage ensuite à l'Afrique du Nord puis à l'Italie et à la France, où elle arrive par le port de Marseille via des navires génois. On estime que cette épidémie, aussi surnommée «la grande peste», a fait entre 25 et 40 millions de morts en Europe, soit entre un tiers et la moitié de sa population de l'époque.

L’expansion de la pandémie de peste noire en Europe au 14e siècle. © Wikipedia

L’expansion de la pandémie de peste noire en Europe au 14e siècle. © Wikipedia 

La grippe espagnole (1918-1919)

Causée par un virus de type A H1N1 particulièrement virulent, la grippe espagnole est en réalité d'origine asiatique. Elle arrive ensuite aux États-Unis, puis traverse l'Atlantique par les soldats venus aider la France. Si elle est qualifiée de grippe espagnole, c'est parce que le pays, non soumis à la censure et à la guerre, fait état des premières nouvelles alarmantes. Lorsqu'elle s'éteint, en avril 1919, le bilan est effroyable. La grippe espagnole a tué 20 à 30 millions de personnes en Europe et jusqu'à jusqu'à 50 millions à l'échelle mondiale, n'épargnant pratiquement aucune région du globe. On estime qu'un tiers de la pollution mondiale a été infecté.

VOIR AUSSIHuit maladies qu’on croyait disparues et qui reviennent

Le choléra (1926-1832)

Endémique depuis plusieurs siècles dans le delta du Gange en Inde, le choléra gagne la Russie en 1930, puis la Pologne et Berlin. Il débarque en France en mars 1832 via le port de Calais, puis arrive à Paris. Se manifestant par des diarrhées brutales et des vomissements, le choléra (dont on ne connait alors pas la cause, la bactérie Vibrio choleræ) entraîne une déshydratation rapide, aboutissant parfois à la mort en quelques heures. L'épidémie causera près de 100.000 morts en moins de six mois en France, dont 20.000 à Paris. Elle va ensuite gagner le Québec via les immigrants irlandais, où elle fera également des ravages.

Le duc d'Orléans visitant les malades de l'Hôtel-Dieu pendant l'épidémie de choléra en 1832/ Alfred Johannot © Musée Carnavalet, Histoire de Paris

Le duc d'Orléans visitant les malades de l'Hôtel-Dieu pendant l'épidémie de choléra en 1832/ Alfred Johannot © Musée Carnavalet, Histoire de Paris 

La grippe asiatique (1956-1957)

Liée au virus influenza H2N2, la grippe de 1956 est la deuxième pandémie grippale la plus mortelle après celle de 1918. Elle causera deux à trois millions de morts dans le monde, dont 100.000 dans l'Hexagone, soit 20 fois plus qu'une grippe saisonnière classique. Partie de Chine (d'où son nom), le virus gagne Hong Kong, Singapour et Bornéo, puis l'Australie et l'Amérique du Nord avant de frapper l'Europe et l'Afrique. Il va muter quelques années plus tard en H3N2 pour provoquer une nouvelle pandémie en 1968-1969, surnommée «grippe de Hong-Kong». Cette dernière marquera les débuts des premiers vaccins antigrippaux efficaces.

Le sida (1981-aujourd’hui)

Originaire de Kinshasa (République démocratique du Congo), le virus du sida apparaît au grand jour en 1981, lorsque l'agence épidémiologique d'Atlanta, aux États-Unis, alerte sur des cas inhabituels de pneumocystose (une pneumonie rare présente chez les patients immuno-déprimés). Le VIH n'est identifié que deux ans plus tard, en 1983, par une équipe de chercheurs de l'Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier. Au plus fort de l'épidémie, dans les années 2000, deux millions de personnes succombent chaque année du virus. 36,9 millions de patients vivent aujourd'hui avec le VIH , mais les traitements antirétroviraux ont permis de réduire considérablement la mortalité.

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https://www.france24.com/fr/20200506-pand%C3%A9mie-de-grippe-dans-les-ann%C3%A9es-50-et-60-en-france-autre-%C3%A9poque-autres-r%C3%A9ponses

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Pandémie de grippe dans les années 50 et 60 : Autre époque, autres réponses en France

Publié le : 06/05/2020 - 16:36

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Au cœur de l’actualité et des attentions depuis plusieurs mois, le Covid-19 n’est pourtant pas la première pandémie de l’ère moderne. Dans l’histoire des crises sanitaires depuis la deuxième moitié du XXe siècle, la France a déjà été frappée par deux pandémies de grippe, dans les années 1950 et dans les 1960. Retour sur ces épisodes peu connus avec Frédéric Vagneron, historien de la médecine et des maladies infectieuses.

Coronavirus, Covid-19 ... En raison de son lourd bilan humain et de ses conséquences socio-économiques, la pandémie actuelle, qui a fait plus de 258 000 morts dans le monde et obligé plus de la moitié de la planète à se confiner, est au centre de l'attention internationale et des préoccupations des scientifiques.

Face à l'ampleur de la crise sanitaire actuelle, il existe un parallèle avec l'histoire récente des pandémies qui ont atteint la France. Quelques décennies après la très meurtrière grippe espagnole de 1918-1919, deux pandémies ont sévi dans le monde dans la seconde moitié du XXe siècle : la grippe asiatique de 1957-1958, suivie de la grippe de Hong Kong, en 1968-1969. Chacune, de type A, a fait entre 1 et 4 millions de morts, selon l'OMS. En France, malgré quelques dizaines de milliers de morts (le bilan est toujours discuté par les historiens), ni les pouvoirs publics, ni les médias, n'en ont fait grand bruit à l'époque.

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N'ayant pas entraîné la paralysie de l'économie nationale, ni de mesures de confinement, elles restent aujourd'hui méconnues et oubliées. S'il est difficile de comparer deux périodes très différentes, pas seulement parce que la couverture médiatique et le rôle actuel joué par les réseaux sociaux était inexistant, on peut expliquer les différences de perception et le décalage entre les mesures prises à l'époque et celles d'aujourd'hui destinées à contrer le Covid-19.

France 24 a interrogé Frédéric Vagneron, historien de la médecine et des maladies infectieuses et chercheur rattaché au Centre Alexandre-Koyré (EHESS-CNRS).

France 24 : Comment expliquez-vous la différence de perception entre les pandémies de grippe asiatique et de Hong-Kong, et celle du Covid-19 ?

Frédéric Vagneron : Il faut se rappeler que la grippe, qu'elle soit saisonnière ou pandémique, est une maladie qui a été historiquement très étudiée, notamment ses manifestations épidémiologiques et cliniques. On dispose de récits de pandémies de grippe et des descriptions de la maladie à partir du XVIIIe siècle, et on connait extrêmement bien la description clinique de la grippe et ses différents effets au niveau respiratoire ou certains symptômes caractéristiques comme l'abattement en début d'infection.

Les deux pandémies de grippe qui surviennent dans un intervalle de 10 ans, entre 1957-1958, puis 1968-1970, ont marqué les esprits. L'épisode de la grippe espagnole de 1918-1919 était encore en mémoire dans la population et pour les médecins qui avaient été confrontés à cette catastrophe sanitaire majeure à la fin de la Première Guerre mondiale. En 1957, la grippe est perçue comme une "vieille" connaissance, avec des formes saisonnières souvent bénignes, mais c'est également une maladie que les scientifiques associent pour la première fois à la circulation de ses différents virus, un savoir encore incertain mais inconnu trois décennies plus tôt.

Avec le Covid-19, on est dans une situation radicalement différente : on fait face à une maladie dont aucun médecin n'avait connaissance il y a encore six mois. Il y a donc toutes les inconnues d'une maladie qui se propage rapidement. Il faudra du temps pour décrire et stabiliser ses caractéristiques propres, y compris dans le temps, dans les populations.

Comment percevez-vous le décalage entre les mesures prises à l'époque et celles qui ont été prises pour freiner la propagation du Covid-19 ?

Même si des problèmes d'absentéisme se sont posés au cours de ces pandémies, avec un ralentissement de la vie économique, ou un engorgement des services hospitaliers, il est vrai qu'à l'époque le pays n'était pas à l'arrêt comme aujourd'hui. D'un point de vue sanitaire, les mesures préconisées ne divergeaient pas fondamentalement de celles prononcées dès la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle, et ce, en dépit des nouveaux savoirs virologiques.

Avec l'apparition de la grippe, on savait à l'époque qu'il s'agissait d'une maladie très contagieuse, qu'il fallait éviter de sortir et faire attention à la convalescence. On craignait encore les complications bactériennes. Les recommandations de santé publique parues dans les comptes-rendus de débats de l'Académie de médecine, même si elles n'étaient pas mises en œuvre massivement, signalent par exemple l'intérêt du port du masque. Le décalage avec les mesures actuelles, dont le confinement de la population, est certes important, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y avait pas une conscience du risque à l'époque. D'ailleurs, la pandémie de grippe de 1968-1969 a donné lieu à une mobilisation internationale orchestrée par l'OMS, qui avait donné l'alerte face à un virus nouveau, comme en 1957, et comme aujourd'hui.

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Néanmoins, l'époque de ces pandémies et celle d'aujourd'hui sont bien distinctes. Dans les années qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale jusqu'aux années 1970 comprises, il y a, dans les pays occidentaux, une confiance généralisée dans les progrès techniques et scientifiques, malgré des voix plus prudentes. Une certaine confiance qui est justifiée par les avancées thérapeutiques avec la commercialisation de nouveaux médicaments, comme les antibiotiques contre les maladies infectieuses bactériennes, ou le développement des vaccinations grâce à de nouvelles techniques de biologie moléculaire et de génétique. Des maladies jusque­-là omniprésentes comme la tuberculose sont reléguées au passé. Jusqu'à l'apparition du VIH dans les années 1980, les sociétés occidentales pensent s'être débarrassées des grandes épidémies de maladies infectieuses ou qui sévissent encore dans les pays "en voie de développement".

L'étude de ces pandémies de grippe, dites oubliées, peuvent-elles contribuer à lutter contre le Covid-19 ?

D'un point de vue médical et scientifique, les pandémies grippales, dues à des virus en évolution constante, sont une sorte de modèle pour comprendre ce qu'il se passe aujourd'hui. Le terme de "vague", chez les épidémiologistes, est ainsi intimement lié à un phénomène de réapparition successive de l'épidémie dans le temps lors des pandémies historiques, en particulier celle de 1918-1919. Mais, comme tout modèle, il a ses limites, et les médecins et chercheurs qui travaillent sur le Covid-19 savent pertinemment que le comportement de ce nouveau coronavirus est irréductible à ce que l'on connait sur les souches grippales.

Pour autant, à partir de la fin des années 1990, des politiques de préparation pandémiques se sont développées au niveau international, depuis les recommandations de l'OMS jusqu'aux politiques de préparation nationales, et le modèle de menace retenu a très majoritairement été celui de la grippe pandémique. La pertinence de ces plans de préparation pose question aujourd'hui : la focalisation sur le modèle grippal permettait-elle d'anticiper les défis imposés par le Covid-19 ? Dans ces plans, on a par exemple la quasi-certitude de disposer d'un vaccin assez efficace même si cela demande du temps et des moyens techniques, logistiques et financiers considérables.

Ce schéma est remis en cause aujourd'hui par l'incertitude qui entoure la pandémie de Covid-19. Malgré la rapidité de l'identification de ce virus et son séquençage, les chercheurs n'ont aucune expérience de traitement, alors qu'ils ont 70 années d'expérience de vaccination contre la grippe. Sans compter qu'à partir des années 1990, d'autres outils pharmaceutiques ont été utilisés contre la grippe, comme des antiviraux spécifiques. Dans le cas du Covid-19, il faut chercher et tester une nouvelle panoplie prophylactique et thérapeutique, y compris en testant l'efficacité de médicaments prescrits pour d'autres maladies.

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Infographie: Les pandémies les plus meurtrières au fil du temps | Statista

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https://actu.fr/societe/coronavirus/covid-19-quelle-comparaison-possible-avec-les-autres-grandes-pandemies-de-l-histoire_36396201.html

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B - Les pandémies & Traitement médical

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Mon propos consiste à soulever le problème de la pertinence des traitements pendant la pandémie Covid. Pouvait-on éviter le pire, une mortalité aggravée, par une prévention efficace au niveau des médecins généralistes ? Ce minima at-il été mis en oeuvre ? Je ne le crois pas ! Les autorités sanitaires ont-elles influencé la médecine de ville ? Les médecins étaient-ils libres de leur prescriptions ? Je n'ai pas de réponses ni de certitude ... mais je veux que vous ressentiez en filigrane le fond du problème par l'intermédiaire d'articles tiers convergents traitant du sujet.

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https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/grippe

Cause

La grippe est une maladie infectieuse causée par un virus influenza, virus à ARN enveloppé de la famille des Orthomyxoviridae, qui touche essentiellement les voies respiratoires supérieures (nez, gorge, bronches), plus rarement les poumons. Il existe 3 types de virus influenza infectant l’homme : A, B et C. Les virus de type A infectent l’homme et de nombreuses espèces animales, les espèces aviaires (oiseaux aquatiques sauvages, volailles) constituant le réservoir, ainsi que différentes espèces de mammifères, notamment le porc. Sur la base de leurs protéines de surface, l’hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N), les virus de type A sont classés en sous-types notés HxNy. Les virus de type B infectent quasi-exclusivement l’homme. On distingue deux lignages de virus de type B, B-Yamagata et B-Victoria. Les virus de types A et B sont responsables des épidémies saisonnières, alors que les virus de type C provoquent une maladie généralement bénigne.

Seuls les virus de type A ont un potentiel pandémique.

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Symptômes et évolution de la maladie

Les symptômes apparaissent de 1 à 4 jours après la contamination. L’infection dure généralement une semaine et se caractérise par l’apparition brutale d’une fièvre, de douleurs musculaires, de maux de tête, d’une sensation de profond malaise, de signes respiratoires (toux sèche, gorge irritée, rhinite). 

La plupart des sujets atteints guérissent en une semaine avec un traitement symptomatique (antipyrétique, hydratation, antitussif et repos). Certaines personnes fragiles sont à risque de développer une grippe grave pouvant nécessiter une hospitalisation en réanimation, le recours à une assistance ventilatoire, voire même le décès : personnes âgées de plus de 65 ans, femmes enceintes, obèses morbides (indice de masse corporelle ou IMC>40 kg/m2), diabétiques, immunodéprimées, personnes atteintes de pathologies chroniques (maladies cardiovasculaires, maladies respiratoires), nourrissons.

Attention : il ne faut pas confondre grippe et syndrome grippal

La grippe est l’infection due à un virus influenza dont les symptômes sont les mêmes que ceux du syndrome grippal.

Un syndrome grippal est un ensemble de symptômes (fièvre, signes respiratoires, courbatures, céphalées …) dû à un virus respiratoire qui peut être également différent de la grippe : virus respiratoire syncytial (VRS), rhinovirus, virus parainfluenza, adenovirus.

Lors d’un syndrome grippal, si nécessaire, le médecin pourra réaliser un prélèvement respiratoire qui sera analysé au laboratoire, pour savoir s’il s’agit bien de la grippe.

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Transmission

Les virus grippaux pénètrent dans l’organisme par voie respiratoire, au niveau du rhino-pharynx. Ils se transmettent facilement par voie aérosol, au moyen de microgouttelettes et de particules excrétées par un patient infecté lorsqu’il tousse, éternue ou parle. Les virus peuvent également être transmis par l’intermédiaire des mains (type de transmission appelé "manuportage"), lorsqu’une personne touche une surface contaminée et porte sa main à proximité du nez, d’où l’importance des mesures barrière lors des épidémies (port de masque, lavage des mains). Les virus grippaux se multiplient dans l’épithélium respiratoire, où de nouvelles particules virales sont produites. La multiplication virale est localisée. La réplication virale provoque une nécrose de l’épithélium respiratoire cilié qui s’accompagne d’hypersécrétion de mucus bronchique.

Les températures froides favorisent la survie des virus grippaux ce qui explique, en partie, pourquoi les épidémies surviennent en hiver dans les climats tempérés.
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Réponse immunitaire

Lors de l’infection, la réponse immunitaire innée aboutit à la production de cytokines inflammatoires qui sont responsables de la plupart des symptômes de la grippe. La réponse immunitaire adaptative ou spécifique consiste notamment en une induction de lymphocytes T cytotoxiques qui éliminent les cellules infectées et de lymphocytes B qui produisent des anticorps parmi lesquels des anticorps qui vont neutraliser le virus.

Traitement

Le traitement de la grippe est symptomatique, avec application de mesures d’hygiène pour limiter la transmission et peut également faire appel à un traitement antiviral spécifique. Les antiviraux disponibles en France sont des inhibiteurs de la neuraminidase*, l’oseltamivir (Tamiflu®), actif sur les virus de types A et B, est disponible sous forme orale. Il réduit la durée de la maladie et la sévérité des symptômes s’il est pris précocement c’est-à-dire dans les 48 heures suivant le début des symptômes. Il permet également de réduire le risque de complications et la mortalité. Un autre inhibiteur de la neuraminidase, le zanamivir (Relenza®) peut-être prescrit à l’hôpital en cas de résistance à l’oseltamivir, sous forme intraveineuse.

Ces antiviraux sont prescrits à titre curatif et l’oseltamivir peut également être donné en prévention dans certaines situations, épidémie en EHPAD par exemple.

*Neuraminidase : glycoprotéine de surface du virus qui possède une activité enzymatique qui permet la libération des particules virales nouvellement formées et leur diffusion au sein du mucus

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Prévention et vaccination

La prévention

En cas d’épidémie déclarée, des mesures de protection individuelle s’imposent pour éviter d’être infecté, ou quand on est malade d’infecter soi-même les personnes de son entourage proche : port du masque, utilisation de mouchoirs jetables, tousser et éternuer dans son coude, se laver régulièrement les mains, aérer son logement régulièrement. Si vous êtes malades évitez le contact avec des personnes fragiles.

La vaccination

En dehors des mesures d’hygiène la vaccination annuelle contre la grippe reste le moyen le plus efficace de se protéger. Il permet de réduire les formes graves de grippe.

Elle est fortement recommandée pour les personnes les plus fragiles (cf ci-dessus), mais également pour le personnel soignant, pour les personnes résidant en établissement de soins de suite et pour toutes personnes en contact direct avec des personnes fragiles. La protection conférée par le vaccin est de 6 à 9 mois.

Les modifications génétiques constantes des virus grippaux imposent d’ajuster chaque année la composition du vaccin pour y introduire les souches les plus récentes en circulation. Si l’efficacité du vaccin dépend avant tout de l’âge et de l’état immunitaire du sujet vacciné, le degré de similitude entre les souches vaccinales et les virus en circulation entre également en ligne de compte.

La mise au point des vaccins

Le réseau mondial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la surveillance de la grippe rassemble les Centres collaborateurs et Centres de référence pour la grippe de l’OMS du monde entier. Il est chargé de suivre l’évolution des virus en circulation chez l’homme et d’identifier rapidement les nouvelles souches. Sur la base des informations recueillies par le réseau, l’OMS recommande la composition du vaccin pour qu’il soit efficace contre les souches les plus récentes en circulation. Deux réunions ont lieu chaque année, une en février pour la détermination du vaccin antigrippal pour l’hémisphère nord et une en septembre pour la détermination de la composition vaccinale du vaccin pour l’hémisphère sud. Les vaccins contre la grippe sont quadrivalents. Ils contiennent les souches représentatives des deux sous-types de virus A, A(H1N1)pdm09 et A(H3N2), et des deux lignages de virus B, B-Yamagata et B-Victoria, responsables des épidémies saisonnières.

Epidémiologie

Les virus grippaux de type A et B sont à l’origine des épidémies saisonnières chez l’homme. La grippe sévit généralement en hiver dans les pays tempérés mais les virus grippaux circulent toute l’année dans les pays tropicaux et sub-tropicaux. Seuls les virus de type A sont responsables des pandémies, dues à des nouveaux virus, inconnus de la population et vis-à-vis desquels la majorité de la population n’est pas protégée.

La grippe saisonnière

Les épidémies de grippe évoluent selon une saisonnalité, elles surviennent dans les régions tempérées entre novembre et avril dans l’hémisphère nord, entre avril et octobre dans l’hémisphère sud. Bien que les épidémies de grippe soient annuelles, elles restent imprévisibles, on ne sait pas quand elles vont démarrer, quels virus vont circuler, combien de temps elles vont durer. On ne peut pas non plus prédire l’intensité ou la sévérité d’une épidémie. En France, la grippe saisonnière touche 2 à 8 millions de personnes et est responsable de 10 000 à 15 000 décès chaque année.

Les pandémies

Une pandémie est une épidémie non limitée dans l’espace, qui se répand rapidement à toute la surface du globe. Elle est la conséquence de l’apparition d’un nouveau sous-type de virus grippal de type A (suite à une modification génétique majeure), pour lequel la majorité de la population est immunologiquement naïve. Une pandémie est particulièrement dévastatrice en termes de morbidité, de mortalité et d’impact socio-économique. Ces pandémies sont rares, le XXe siècle en a connu trois :

la pandémie de 1918 dite « grippe espagnole », la plus sévère, due au sous-type H1N1, a touché le monde entier et a été responsable de 20 à 50 millions de morts entre 1918 et 1919 ;

la « grippe asiatique » en 1957, due au sous-type H2N2 ;

et la « grippe de Hong Kong » en 1968 due au sous-type H3N2.

En 1977, lors de l’épidémie de « grippe Russe » les virus de sous-type H1N1 ont été réintroduits chez l’homme et ont circulé parallèlement avec les virus de sous-type H3N2.

En 2009, date de la dernière pandémie grippale, le virus responsable était un nouveau variant de sous-type H1N1, résultant d’échanges génétiques appelés réassortiments entre un virus humain, un virus aviaire et deux virus porcins. Depuis 2009 ce virus A(H1N1)pdm09 a remplacé les précédents virus A(H1N1) et est responsable, avec les virus A(H3N2) et les virus de type B, des épidémies saisonnières.

La grippe aviaire/zoonotique

On parle de grippe zoonotique quand il y a transmission d’un virus grippal entre l’animal et l’homme. Pour les virus influenza A, des infections par des virus issus du réservoir animal sont possibles exceptionnellement. Ces infections zoonotiques ont un niveau de gravité varié, infection généralement bénigne (ex. virus porcin H3N2v, virus aviaire H9N2), ou forme sévère avec létalité importante (ex. virus aviaires H5N1, H7N9). Ces infections ne donnent généralement pas lieu à une transmission interhumaine.  On parle de grippe aviaire pour les cas d’infection par des virus influenza aviaires qui se sont montrés capables de franchir la barrière d’espèces et d’infecter l’homme.

Chez les volailles le virus influenza se multiplie principalement au niveau du tractus digestif ainsi qu’au niveau du tractus respiratoire. Ainsi, de grandes quantités de virus sont excrétées dans les fientes et contaminent l’environnement. Les virus aviaires de sous-type H5 et H7 sont classés en faiblement pathogènes (FP) ou hautement pathogènes (HP) pour les volailles. La transmission à l’homme nécessite une exposition prolongée à des volailles infectées ou des environnements contaminés et la transmission d’homme à homme n’est pas efficace. Parmi ces virus aviaires, les virus A(H5N1) HP, A(H7N9) HP et FP sont à l’origine du plus grand nombre de cas.  D’autres virus aviaires comme les virus A(H5N6) sont responsables de cas humains sporadiques sévères alors que les virus A(H5N8) n’ont jamais été détectés chez l’homme.

Pour prendre en compte le risque de survenue de cas importés sur le territoire national, Santé publique France (SpF) met à jour la liste des pays avec une circulation endémique de virus influenza à potentiel zoonotique et les cas suspects d’infection font l’objet d’une évaluation selon les recommandations du Haut conseil de santé publique.

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Des traitements antiviraux

La grippe est due à un virus. Donc inutile de compter sur les antibiotiques pour soigner cette maladie. Le plus souvent, le médecin vous prescrit des antalgiques pour soigner les symptômes, notamment la fièvre et les maux de tête. Et la plupart des personnes en bonne santé guérissent de la grippe, sans prendre de traitement, en 1 à 2 semaines, laissant toutefois l’organisme très affaibli.

Il existe néanmoins des traitements antiviraux qui empêchent la réplication des virus dans l’organisme. S’ils sont pris suffisamment tôt, dès l’apparition des symptômes, ils peuvent limiter l’infection. En France, c’est le Tamiflu qui est prescrit. Cet antiviral, mis au point pour contourner les problèmes de résistance rencontré avec les premières molécules mises sur le marché, cible les protéines de surface des virus. Ces médicaments doivent être réservés aux formes graves ou aux patients présentant des risques de complications.

Pour protéger les personnes les plus vulnérables, une autre solution existe, une solution préventive. C’est la vaccination. « La vaccination, c’est très important, notamment chez la femme enceinte, poursuit Sylvie Behillil, responsable adjoint du Centre national de référence Virus des infections respiratoires (dont la grippe) à l’Institut Pasteur. Les femmes enceintes sont très peu vaccinées alors qu’elles font parties des personnes à risque depuis la pandémie de grippe H1N1 en 2009. Par ailleurs, quand une femme enceinte se vaccine, à n’importe quel moment de la grossesse, non seulement elle se protège mais elle protège aussi son bébé pour ses 2 ou 3 premiers mois de vie. »

Mais la vaccination ne doit pas concerner que les personnes sensibles. « Quand on se vaccine, on se protège soi mais on protège aussi les autres en évitant la transmission », rappelle Sylvie Behillil. « On casse la chaîne de diffusion, rajoute Vincent Enouf, responsable adjoint du Centre national de référence virus des infections respiratoires (dont la grippe) à l’Institut Pasteur (Paris). Et même si l’efficacité du vaccin est plus faible certaines années, suivant les virus qui circulent, il sauve des vies ».

Un vaccin à quatre souches

Si une personne a déjà attrapé la grippe, l’immunité qu’elle a acquise à cette occasion peut la protéger contre cette maladie. Mais encore faut-il qu’elle rencontre la même souche, du même type de virus de la grippe que la fois précédente. Et c’est bien là toute la difficulté avec la grippe : les virus évoluent tellement rapidement, et en permanence, que l’on n’est jamais complétement immunisé et que la composition du vaccin doit être revue chaque année.

Ainsi, le réseau mondial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la surveillance de la grippe établit chaque année la composition du vaccin, en essayant de déterminer, par avance, quelles souches vont circuler lors de la prochaine épidémie saisonnière. Le vaccin contre la grippe renferme ainsi les 4 souches de virus qui peuvent être responsables des épidémies saisonnières, à savoir A(H1N1)pdm09, A(H3N2), B Yamagata et B Victoria.

Ces vaccins « inactivés » contiennent des virus morts. Comme tous les vaccins, le fait d’exposer l’organisme à ces virus va activer le système immunitaire sans le rendre malade, ce qui permettra à ce dernier, lors d’une prochaine infection, d’être prêt à la riposte. Des évaluations de l’efficacité vaccinale sont réalisées chaque année en fonction des types et sous-types circulants, et selon les groupes à risque ou non.

Vers un « vaccin universel »

Si certaines équipes de recherche tentent aujourd’hui d’améliorer l’efficacité des vaccins contre la grippe, en étudiant par exemple un mode d’administration par le nez qui stimulerait les mêmes mécanismes de défense que le virus de la grippe, d’autres travaillent à l’élaboration d’un vaccin universel. Mais comment réaliser un vaccin qui serait efficace contre toutes les souches de virus ? Les chercheurs explorent plusieurs pistes, l’idée principale étant d’identifier une caractéristique commune à tous les virus de la grippe, qui ne soit pas ou peu soumise aux mutations.

Certaines équipes tentent par exemple de mettre au point des vaccins en utilisant non pas la tête des protéines de surface (celles qui servent à pénétrer dans les cellules), mais la tige de ces protéines qui mutent beaucoup moins (8). D’autres équipes, comme celles de l’unité Génomique virale et vaccination de l’institut Pasteur, se sont focalisées sur une petite protéine de surface qui émerge à peine de sa surface et ne varie pas d’une souche virale à l’autre (9). « L’objectif du vaccin universel est d’être vaccinée une fois, d’avoir un rappel et puis c’est tout. », conclut Sylvie Behillil.

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https://actu.fr/societe/coronavirus/on-me-traite-de-complotiste-un-generaliste-du-perche-temoigne_43475099.html

https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-traitement-et-medicaments-les-medecins-ne-peuvent-ils-prescrire-que-du-doliprane-aux-malades-comme-le-suggere-marine-le-pen-2206297.html

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/05/14/on-s-etait-bien-trompe-sur-le-traitement-du-covid-19-itineraire-d-un-post-facebook-qui-seme-la-confusion_6039690_4355770.html

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Scandale lorsque la politique s'immisce dans la santé !

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On voudrait doper la mortalité par des traitements inadaptés que l'on n'aurait pas fait autrement !

En effet, cette surmortalité peut et permet de justifier un panel politique ( ... qui est lui même en réalité le seul vrai but de la manoeuvre ). Bilan du traitement standard conseillé aux "généralistes" ? Le voici : Des vitamines, du doliprane et un antibiotique ! .... contre une infection virale .... on croit rêver !

Les médecins ont été incités, "conseillés" de prescrire des traitements inefficaces ( paracétamol / vitamines / antibiotique ) à défaut de premièrement laisser les praticiens déterminer librement le contenu de leur ordonnance ! Bizarre. Mon médecin m'a même dit que selon les experts parisiens << les anti-inflammatoires sont néfastes ... alors qu'à l'hôpital ... le traitement de base est à base d'anti inlfammatoires et anti coagulant ( je l'ai vécu ! J'ai personnellement reçu dans un premier temps ce type de prescription inefficace à base de vitamines et "antibio", ... idem pour des parents et amis proches ) ! Pourquoi ne pas prescrire précocément à domicile les anti inflammatoires et anti coagulants avec de l'oxygène pour éviter d'en arriver à des cas plus graves ?

Bizarre. Les services de secours ( standard tél URGENCE ) qui filtrent les entrées en hôspitalisation retardent les admisssions en donnant priorité aux personnes dèjà en diffculté respiratoire : Bizarre ! Finalement n'entrent que ceux qui sont déjà très malades au lieu de sauver avant le point de non retour de l'infection ... Parce que nous manquons de lit d'hôpitaux !! Alors finalement ... que reste-t-il ? Pas de traitement ... Pas de lit en raison de mauvais choix politiques qui n'ont jamais été remis en cause et qui se prolongent encore dans le temps.

C'est Le vaccin ( dont on soupçonne des conflits d'intérêts ) ou la mort !? Bizarre tout cela.

Le pire ? Des hôpitaux et un service public vidé littéralement de se substance ! Un scandale historique même pendant la pandémie !!

https://www.liberation.fr/checknews/emmanuel-macron-a-t-il-ferme-17-600-lits-dhopital-en-quatre-ans-comme-laffirme-francois-ruffin-20211224_ZDEGBEMS4BHW3CGKLAOKL275ME/

https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/pourquoi-5-700-lits-d-hopitaux-ont-ils-ete-supprimes-en-france-malgre-le-covid-19-8d958f3a-2104-11ec-9353-4fbb3f56eba7

A-t-on cherché à orienter dans un mauvais sens la pratique des médecins pour gonfler une mortalité ? ? Hypothèse qui mérite réflexion.

On sait depuis longtemps qu'il y a mieux mais cela est interdit ! Résultat :

Le vaccin  ... ou mourez !

https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Comment-generalistes-soignent-ils-Covid-2021-05-16-1201155952

Par exemple : On sait que cette infection entraine des micros caillots de sang et qu'il inflamme les tissus, parfois dans tout le corps !!

Aucun anti-coagulant ni anti-inflammatoire prescrit précocément ni de consignes en ce sens données aux médecins. Scandale !. En 2022, des médecins les refusent encore expréssement ces traitements sous des pretextes ou croyances débiles datant du début de l'épidémie. Médecine moyen-âgeuse scandaleusement orientée par le pouvoir politique.

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Seine-et-Marne. Une médecin suspendu

pour avoir prescrit des antihistaminiques à des malades du Covid

Une médecin de Dordives subit une procédure disciplinaire pour administration de traitements non validés contre le Covid. Un collectif de patients s’est formé pour la soutenir.

La médecin proche de la retraite attend le verdict et espère pouvoir continuer à exercer

La médecin proche de la retraite attend le verdict et espère pouvoir continuer à exercer (©Pixabay)

Par Yoann VallierPublié le 10 Mai 22 à 20:32 

La République de Seine et Marne

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À Dordives (Seine-et-Marne), la colère gronde chez les patients d’Hélène Rezeau-Frantz. Car la seule médecin de cette ville de 3 300 habitants a été sanctionnée, le 6 octobre 2021, à trois mois de suspension dont deux avec sursis par la Chambre disciplinaire régionale du Conseil de l’Ordre des médecins du Centre-Val de Loire. La raison invoquée ? Le non-respect de nombreux articles du code de santé publique à travers « la mise en place d’un protocole de traitement systématique, de recherche et d’essais cliniques hors de la réglementation en vigueur… »

Quelques jours plus tard, le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) a fait appel, précisant que « la sanction prononcée par la Chambre Disciplinaire semble inadaptée au regard de la gravité des fautes commises par le Dr Rezeau-Frantz ».

En mars 2020, alors que les spécialistes s’affrontent sur les traitements à administrer face à la première vague de Covid, le médecin de Dordives, prescrit à 18 patients symptomatiques de la Cetirizine, un antihistaminique antiallergique, généralement administré pour des rhinites allergiques et de l’urticaire.

« L’histamine étant un des maillons de la chaîne inflammatoire, on s’est dit qu’en arrêtant ça au départ ou au moins en limitant les effets, on avait des chances de ne pas passer à des formes graves », se justifie alors le docteur dans un reportage diffusé le 6 mai 2020 sur France 3.

La médiatisation d’un traitement non-agréé par les autorités de santé et apparenté à un essai clinique non validé déclenche la réaction de l’Ordre des médecins.

L’appel du Conseil national de l’ordre des médecins, suspendant provisoirement la décision de fermeture de son cabinet qui était prévue le 10 février, le Docteur Hélène Rezeau-Frantz a été en mesure de retrouver son droit d’exercer. Mais les patients qui appelaient pour prendre rendez-vous sont tombés sur ce message téléphonique : « Le cabinet médical est fermé pour dépression suite au harcèlement du Conseil de l’Ordre pour avoir donné un traitement dans le Covid ». Elle a, depuis, repris ses activités en attendant la décision du CNOM, et refuse de parler à la presse.

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« C’est totalement injuste »

« C’est totalement injuste. Notre médecin de famille est formidable. Elle m’a traitée avec cet antihistaminique et, après 48 heures, j’avais connu une nette amélioration », soutient Geneviève, une patiente de Ferrières-en-Gâtinais.

Vidéos : en ce moment sur Actu

Même louage chez Xavier et Colette, habitants de Château-Landon : « Nous sommes ses patients depuis 30 ans. Et nous en sommes plus que satisfaits. » Face à ce qu’elle considère comme une injustice, la patientèle s’est constituée en collectif informel appelé « Liberté, Santé, Vérité ».

Ce collectif a organisé une réunion publique à l’église de Dordives qui a réuni 176 personnes dont le Dr Rezeau-Frantz qui a pris la parole devant un parterre tout acquis à sa cause. Aujourd’hui, Dordives retient son souffle. En raison des déserts médicaux dans le Loiret et le sud Seine-et-Marne, ses patients se demandent bien où, en cas de sanction lourde du CNOM, ils pourront désormais se faire soigner. « On doit donc résister de toutes nos forces », conclut avec ferveur, Geneviève, du collectif qui compte bien se faire encore entendre.

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L’ATTEINTE À LA LIBERTÉ DE PRESCRIPTION DES MÉDECINS PAR L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE LIÉ AU COVID-19 : LE CAS DE L’HYDROXYCHLOROQUINE

https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

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https://www.monde-diplomatique.fr/2020/11/DESCAMPS/62393

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https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/etude-lappui-un-collectif-de-medecins-plaide-pour-la-liberte-de-prescrire-en-ville

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https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-traitement-et-medicaments-les-medecins-ne-peuvent-ils-prescrire-que-du-doliprane-aux-malades-comme-le-suggere-marine-le-pen-2206297.html

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https://www.notre-planete.info/actualites/4866-declaration-medecins-vaccins-COVID

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COVID-19 : plus de 15 000 médecins dans le monde dénoncent des attaques sans précédent

Face à l'obscurantisme et à l'autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la "Déclaration de Rome sur la Covid". Un appel international pour dénoncer l'ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.

Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l'Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous "protéger" de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment...

Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu'ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d'adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d'être radiés de leurs fonctions.

Pour le Docteur canadien Hodkinson, membre du Collège Américain des Pathologistes et du Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada, il s'agit "d'une pandémie de peur. Peur qui a été délibérément provoquée par deux facteurs majeurs : le test PCR et la censure de tout ce qui va à l'encontre du narratif officiel."

Extrait de l'interview du Pr Raoult par France soir publiée le 21 novembre 2021.

▴ Publi-reportage ▴

Presque tous les virologues, médecins et scientifiques qui mettent en doute la stratégie de "vaccination" de masse et/ou émettent des réserves sont systématiquement rabaissés, ignorés ou rejetés dans des articles à charge de soit disant "fact-checking" (qui sont souvent très discutables et faux) à la solde des médias mainstream. De plus, certains journalistes usent de tous les moyens pour entacher la réputation des médecins réfractaires en fouillant leur vie privée, leurs amitiés pour les faire passer pour des "complotistes" qui auraient basculé dans la démence.
"J'ai rencontré de nombreux chercheurs, médecins et scientifiques « de haut niveau » animés par la volonté farouche de connaître et de dire la vérité. Or, très curieusement, ils sont passés, en quelque mois, du statut de « scientifiques brillants » à celui de « sombres complotistes » (...) Jamais je n’ai connu de « purge (médiatique) » d’une telle ampleur dans le monde scientifique (...) La stratégie de tous les systèmes totalitaires : mensonges, calomnies, décrédibilisation de toute pensée non « orthodoxe » et surtout, détournement de l’attention du public de la recherche de certaines vérités." (Jean Stevens, médecin retraité après 45 ans d'expérience en médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France)).

Interview du Dr Michel de Lorgeril, médecin, expert international en épidémiologie et physiologie, chercheur au CNRS. Il s'exprimait déjà en janvier 2020, au sujet de l'omerta et l'innocuité des vaccins. Interview complète ici.

En France, comme aux USA, les malheureux médecins qui administrent des traitements pourtant très efficaces ou qui expriment publiquement leurs doutes sur les vaccins sont menacés de radiation et/ou radiés (ex : Dr. Thierry Lagrange, Dr. Raoult, Dr. Benoit Ochs, Dr Nicolas Zeller, Dr Hélène Rezeau-Frantz, Dr Théron, Dr Agret, Dr Le Grall...).
"Quand on dit aux gens 'Il ne faut plus vous soigner, restez à la maison !', on revient sur 2 500 ans de pratique médicale. Et ça se termine par une mortalité effroyable." déclarait le Pr Raoult à l'antenne de Sud Radio le 9 novembre 2021.

A lire sur ce sujet :

Vaccination contre la COVID-19 : un remède pire que le mal ?

Coronavirus COVID-19 : la course folle aux traitements est lancée

COVID-19 : le documentaire HOLD ON alerte sur les dessous masqués et inavouables de la "vaccination"

L'aluminium, les vaccins et les 2 lapins ... Le film choc de l'Association E3M

"En 2 ans la France est devenue une dictature comme en Chine ou Ex-Union Soviétique !
Je suis encore interdit de TweeT pour avoir osé donner mon avis médical en tant que médecin !
A quand les perquisitions et les camps de rééducation ?
Je n'aurais jamais cru voir ça en France un jour dans ma vie !
C'est très grave ce qui se passe en France !
Mais le pire de tout c’est de voir la passivité, la soumission et le conditionnement mentale de 95% de la population !", s'insurgeait le Dr. Peter El Baze suite aux restrictions appliquées sur son compte Twitter le 11 décembre 2021.

Au final, "ceux qui savent sont pénalisés (...) On ne peut pas dire qu'on nous traite bien quand on sait. On déteste plutôt ceux qui savent." s'indignait le Pr. Raoult dans sa vidéo du 11 janvier 2022.

Les médecins du monde entier s'allient pour défendre leurs patients et le serment d'Hippocrate

Face aux décisions politiques, insensées et dangereuses des gouvernements principalement occidentaux, plusieurs milliers de médecins et scientifiques médicaux dans le monde entier ont fondé une alliance internationale de médecins et scientifiques "déterminés à dire la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de Covid".

1ère déclaration de l'alliance de médecins

A l'occasion du Global Covid Summit qui s'est tenu du 12 au 14 septembre 2021 à Rome, ils ont signé une première déclaration qui est "un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements - sans crainte d'ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies. Nous exigeons que ces groupes se retirent et honorent le caractère sacré et l'intégrité de la relation patient-médecin, la maxime fondamentale « D'abord ne pas nuire » et la liberté des patients et des médecins de prendre des décisions médicales éclairées. Des vies en dépendent."

Début décembre 2021, ils étaient déjà plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux à avoir signé cette déclaration dont le Dr. Robert Malone, l'un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough, célèbre cardiologue américain, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins et bien d'autres docteurs.

DÉCLARATION DES MÉDECINS SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux Septembre 2021 Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d'Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ; VU QU'il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l'intégrité, l'art et la science de la médecine ; VU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l'objet d'une attaque sans précédent ; VU QUE les décideurs publics ont choisi d'imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l'approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s'est avérée sûre et plus efficace ; VU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ; CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s'engager dans un discours professionnel ouvert et d'échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l'essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ; CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s'aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l'absence de traitement ; CONSIDÉRANT que ceci n'est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l'humanité. PAR CONSÉQUENT, IL EST RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins. RÉSOLU, que l'intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l'art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l'autorisation d'exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d'assurance et l'ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d'échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés. IL EST RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D'ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements. IL EST RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l'intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine. RÉSOLU, nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance. RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l'importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l'accès à des soins médicaux fondés sur la science. EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Le serment d'Hippocrate (revu par l'Ordre des médecins français en 2012)
"Au moment d'être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité.
J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité.
Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j'y manque."

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2e déclaration de l'alliance de médecins pour protéger les enfants

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Le 29 octobre 2021, les milliers de médecins et scientifiques réunis dans le cadre de cette alliance ont signé une deuxième déclaration visant à protéger la santé des enfants face à la pression vaccinale.

"Le consensus est clair parmi les médecins et les docteurs en médecine : après 20 mois de recherches exhaustives, des millions de patients traités, des centaines d'essais cliniques réalisés et des données scientifiques partagées dans le monde, ils concluent que les enfants en bonne santé ou ayant récupéré de la COVID devraient être exclus des obligations vaccinales et des restrictions sociales.
Les médecins recommandent également des mesures législatives et administratives, pour éviter d'interrompre les traitements des médecins, ou de mettre davantage en danger les enfants en bonne santé ou ayant récupéré de la COVID." explique l'alliance.

Cette nouvelle déclaration intervient alors que des décisions arbitraires et infondées sont prises pour forcer les enfants en bonne santé à se faire vacciner, sans qu'il n'y ait aucun avantage dans la balance bénéfice / risque, tout en imposant des mesures de plus en plus draconiennes contre des citoyens déjà immunisés.

Les mesures insensées et autoritaires prises principalement dans les pays occidentaux face à cette pandémie - extrêmement peu létale chez les personnes non âgées et en bonne santé - soulèvent de plus en plus de questions sur sa véritable origine et sa finalité alors que des vaccins délétères et invalidants sont imposés de manière autoritaire, aveugle et sans garde-fou.

 

Date de dernière mise à jour : 18/05/2022